Retour à la case de départ. [PV Aaron]

[ Ça y est, j'suis repartit ! ]

Bon d’accord, le thème « folle au volant » avait peut-être été inventé pour moi ! Peut-être, oui, et peut-être aussi qu’il me manquait quelques casses ! Bon peut-être, mais zombies, roue en moins, et … oui zombies affamés pour moi voulait tout dire, ce n’était pas le moment de se soucier des virages, ou des limites de vitesse. Je lui avais dit de s’accrocher ! Enfin, oui je crois bien. Enfin il n’allait pas en mourir, ce dont on allait mourir c’était peut-être du truc qui était tombé sur le toit et que j’essayais de me débarrasser. Ce truc réussit à faire un trou dans le capot de la voiture. Résultat, je n’eus pas vraiment le choix, fallait faire quelque chose j’imagine…

L’auto vint s’emboutir contre une autre auto, de quoi secoué la bestiole sur le toit, de quoi lui faire faire un vol plané de quelques mètres tout au plus. Hum ouais, soucis numéro trois (après les zombies, le trucs bizarre) la route que j'avais décidé d'emprunter n'allait peut-être pas nous aider, si c'est tant que l'auto veuille redémarrer. « On sors ! » fis-je à mon passager. À vrai dire il y avait une bâtisse pas mal à notre gauche. J’avais l’idée de nous y réfugié quelque temps disons. Tout sauf à l’extérieur, c’était la règle d’or ! Je sortis alors de la bagniol, arme en main.

Alors que Aaron se demandait vaguement si l’estomac de James Bond aurait survécu à cette conduite sans faire de commentaire déplacé sur les femmes et les voitures, Elena faisait du mieux qu’elle pouvait pour les maintenir vivants. Mais c’était plus fort que lui, Aaron avait encore du mal à lui être reconnaissant pour chacun de ses mouvement au volant.
Puis quelque chose percuta le toit de la voiture, le jeune homme demanda alors à son ventre de la boucler quelques instants puis il leva la tête pour voir de quoi il s’agissait, mais tout ce qu’il arrivait à percevoir, c’était que le « quelque chose » essayait de toutes ses forces de percer un trou pour venir leur faire on ne sait quoi.
Aaron était sur le point de saisir son arme et de tirer à travers le toit quand la voiture percuta un autre véhicule et s’arrêta. Le premier effet immédiat fut l’arrêt des coups sur le toit, le deuxième fut l’arrêt en douceur des vertiges de Aaron.

Quand Elena lui dit de sortir, il fut d’abord soulagé, mais très vite la peur prit place, malgré les nausées, la voiture donnait une impression de sécurité qui ne donnait pas envie de la quitter pour un monde plus ouvert et plus disposé à fournir des angles d’attaques.
Mais il la suivit, arme en main, et la vit s’avancer vers un bâtiment pas très loin. Aaron regarda aux alentours et vit qu’un groupe de zombies s’approchait d’eux lentement.
Lui aussi fonça vers le bâtiment, c’était un café. Il leva la tête et vit des appartements au dessus, c’était là qu’ils seraient le plus en sécurité, certainement pas en bas avec toutes les portes et toutes les vitres.
Il entra dans le café et vit avec soulagement que les clients zombifiés n’étaient pas là. Une pensée monopolisa son esprit:

*Par où on monte ?*

Oui, j’aurais pu faire feu moi aussi [Bon mon passager alors, moi j’étais trop prise avec le volant] mais les choses étant comme ils le sont, je perdis le contrôle. [La faute à la créature d’abord]. Mais bon ! Là n’est pas la question, j’ai peut-être été bête en fait… bête d’être sortit, et bête d’avoir menti, et re-bête pour nous avoir mis dans la mouisse.

Je passa par-dessus un obstacle et entra dans le dit café. Mon arme en avant, et mon cœur battant à tout rompre. Tout était nickel, enfin aucun zombie. J’eu la même pensé que mon ami du moment. « Par là », fis-je en voyant les dit escalier et empoignant sa manche pour le diriger vers eux. Je ne voulais pas le brusquer, mais… bon.
Je le laissa passer le premier, après avoir tiré quelques balle vers l’entrée.
Puis je couru pour me diriger à l’étage, là où Valefore allait. Je montai les marches quatre à quatre, et … POUF ! Non, plutôt CRACK. Je poussa un… une complainte en même temps d'avoir vraiment été prise par surprise lorsqu’une marche pourrit comme le reste du bâtiment céda sous mon poids et que mon pied s’enfonça dans la marche pour y rester pris.

Elena trouva les escaliers et laissa le jeune homme les emprunter en premier. Il tourna la tête et vit que quelques zombies commençaient à être vraiment prés. Alors qu’il montait, il entendit un coup de feu et en déduisit que la jeune femme en avait calmé un.
A peine Aaron fut-il arrivé en haut qu’il entendit un énorme craquement venant de derrière lui. Il se retourna aussitôt et vit que la jambe d’Elena venait d’être prise en otage par les marches cassées.
Vaguement, aux confins de son esprit, une interrogation s’éleva: comment ce faisait-il que ce soit Elena, la plus légère de toutes évidences, qui ait fait craquer les escaliers ? Mais l’urgence de la situation l’empêcha d’approfondir cette question, si bien qu’il l’oublia aussi vite qu’il l’avait eut.
Aaron se précipita pour l’aider à sortir de là, mais à peine avait-il attrapé la main de la jeune S.W.A.T. , le reste des escaliers se brisa et tous deux tombèrent alors dans ce qui semblait être une cave.
Par chance, il n’eut pas trop de blessures, sauf plusieurs bleus un peu partout provoqués par les débris d’escaliers qui étaient tombés en même temps que lui.
Il savoura le fait de ne pas s’être tordu une cheville ou encore de s’être fait empalé, puis il se tourna vers Elena pour prendre de ses nouvelles.

- Rien de cassé j’espère ?!

Me débattre en vain. J’essayai de tirer ma jambe du trou mais je ne réussis qu’à me faire mal et pousser de nouvelles complaintes de douleur. Je relevai la tête pour voir la main qu’Aaron me tendit pour m’aider à me sortir de cette impasse. À peine mes doigts effleura t-ils les siens que l’escalier céda brutalement sous notre poids commun. Je me sentis alors tomber sans pouvoir me retenir, puis le sol sous l’impact de la chute. Je me trouvais sur le dos, les yeux fermés. J’entendis la voix du garçon tout près de moi et je toussotai quelques coups. La douleur me prit alors. Je serrai les dents. L’air était poussiéreux, ce que je remarquai encore plus en ouvrant les yeux dans cette pièce sombre. La lumière provenant du trou béant où j’étais juste en dessous m’éclairait. J’avais tout d’un coup plus envie de bouger de là, je n’avais plus envie de courir, je restais les yeux ouvert en l’air, comme captiver par le trou ou sa lumière. La même voix de tout à l’heure me rappela à l’ordre et de ma main valide je poussai avec difficulté le bois qui m’écrasait. Un cri de douleur vint au même moment que le bois retomba sur le sol à côté de moi. En fait j’eux l’aide de deux bras supplémentaire pour pousser ce bloc; Aaron. Je repris ensuite mon souffle en toussotant encore quelques coup. J’entrepris enfin de me redresser, sur mes fesses et le dos droit d’abord. Puis, le dos maintenant courbé, penchée vers l’avant, je jugeais de l’ampleur des dégâts, je saignais, ça c’était chose sur.

Ils étaient dans une sorte de cave, en tout cas il faisait très sombre, leur seule source de lumière semblait venir du trou par lequel ils étaient entrés. De toute évidence, Elena n’allait pas bien. Aaron réfléchit un instant, que devait-il faire ? Il n’était pas qualifié pour la soigner, déplacer un blessé a toujours été une chose fortement déconseillée, il le savait. Mais entre aggraver une blessure et laisser quelqu’un sans défense en proie à des zombies, il y avait une certaine marge.
Il observa aux alentours, que de poussières et de ténèbres, il laissa à ses yeux le temps de s’habituer un peu à ces conditions et découvrit plusieurs caisses et une porte en haut d’escaliers en pierre cette fois. Il tourna la tête vers la jeune femme et lui fit savoir qu’il allait juste jeter un œil. Il monta les marche le plus vite possible et ouvrit la porte. Il y vit alors une autre pièce, plus petite, qui ne ressemblait pas vraiment au reste du café qu’il avait vu. C’était une sorte de salon avec pleins de fauteuils et de canapés et aussi des cendriers pleins ainsi que des substances un peu particulières.
Il resta stupéfait un instant, essayant de ne pas croire ce que ses yeux et sa logique lui disaient. Puis il posa son regard sur une autre porte à l’autre bout du salon, elle était fermée et la serrure semblait plus que résistante.
Alors qu’une idée lui traversa l’esprit, il entendit un craquement sonore derrière lui, comme si les marches avaient de nouveau cédées.

Je faisais le vide, du moins je n’arrivais pas totalement à réfléchir avec la douleur qui me martelais le crâne. Ma main tremblotante se dirigea vers le bout de bois qui s’était taillé une place de choix. Mais à défaut de même essayer de le retirer, ma main l’effleura et retourna à sa position initial. Mes dents, eux, se serrèrent pour m’éviter de continuer à me plaindre pour divers maux et pour prendre sur moi la douleur.
Je relevai la tête vers M. Valefore qui me faisait savoir qu’il allait me laisser à mon triste sort pour aller jeter un coup d’œil autour. Ma tête s’abaissa pour regarder ces mains, voulant s’avoir s’il avait son arme. Puis seulement la seconde d’après, le jeune homme avait déjà disparu de mon champ de vision. Je n’avais pas d’autre choix que d’attendre, mais têtue comme je l’étais, je m’y refusais. Je fis à peine quelques centimètres avant de m’arrêter, déplacement qui me fit grimacer de douleur et nécessitaire toutes mes forces.

En fin, presque toutes mes forces. L’escalier, qui n’avait pas prononcé son dernier mot, céda à nouveau. J’avais relevé la tête pour regarder le plafond, à peine plus loin, lorsque je l’avais entendu, d’abord craquée, je m’étais forcé à rouler sur le côté. L’escalier lâcha enfin prise à ce même moment et toucha le sol, provoquant un bruit monstre, la poussière, elle, virevoltait à nouveau dans la pièce.

J’étais étendu sur le sol, j’avais peur de bouger, d’ouvrir les yeux pour ressentir la fulgurante douleur, de savoir si j'avais été à nouveau touché. Je ne pu empêcher mes poumons de tousser, tousser un peu de sang par la même occasion. Mes membres endoloris soulevèrent légèrement le haut de mon corps qui se reposa alors sur mes coudes. Mais je n’étais pas encore à l’étape de me demander : Qu’est-ce qui avait fait céder ces marches, si tous les deux, étions déjà en bas ?

Le jeune homme se retourna sur-le-champ, il vit que Elena avait réussit à s’extirper de sous les escaliers, ainsi, elle fut épargnée pas les nouveaux débris. Une chance pour elle parce qu’elle était déjà pas en super état juste avant.
Maintenant que Aaron était rassuré pour sa compagne d’infortune, il se demanda ce qui avait bien pu provoquer l’effondrement des escaliers. Tout à l’heure il avait fallut leur deux points réunis pour les faire tomber, et là… Il vit une silhouette parmi les décombres des marches, une silhouette ensanglantée avec notamment la moitié du visage comme déchirée, mangée. Aaron ne mit pas longtemps à comprendre qu’il s’agissait d’un zombie qui venait leur faire coucou.

Il se précipita vers Elena qui peinait à faire le moindre mouvement. Il l’aida tant bien que mal à se relever et essaya de monter les marches en bétons menant à l’espèce de salon qu’il avait vu il y a quelques instants. Le zombie avait encore du mal à se défaire des morceaux de marches, mais Aaron craignait surtout que d’autres descendent pour suivre son exemple. Avec une blessée et dix balles, il n’allait pas arriver à grand-chose si toute la famille mangeuse de chair de la ville arrivaient.

Je sentis Aaron arrivé de manière plutôt précipitée. Je le laissai m’aider à me relever, parce que seul, je n’y arrivais pas. Avec difficulté je tenais sur mes jambes, d’ou la raison pourquoi je prenais appuie sur Aaron. Je laissai mon bras se faire mettre autour des épaules du jeune homme et laissai ce dernier me conduire. Ma tête ballotante au gré des mouvements de mon « conducteur », je ne vis pas le zombie. J’étais un fardeau pour celui qui devait l’être pour moi. C’était moi la S.W.A.T. qui devrait être en train de l’aider et de lui sauver la vie et non le contraire. Enfin, on pouvait dire qu'ainsi il me redonnait la monnaie de ma pièce.

Il m’aidait à monter les marches alors que j’entendais quelque chose tombé de haut, le bruit ne m'était pas familier. En fait, il ne me semblait pas ressembler à une chute de bois, c’est là que je repris conscience de la situation dans laquelle nous nous trouvions.

D’autres bruits de chutes différents de ceux causés par les débris des escaliers parvirent à leurs oreilles. Voulant garder un semblant d’optimisme, Aaron préféra ne pas regarder ce que c’était. Tout en soutenant une grande partie du poids d’Elena, le jeune artiste fit de son mieux pour monter les escaliers, il ouvrit la porte et entra dans l’espèce de salon. Il aida la jeune SWAT à s’asseoir sur un canapé, puis il se précipita pour refermer la porte. Au passage, il vit que trois zombies étaient maintenant dans la cave et un d’entre eux avait déjà commencé à monter les marches pour les rejoindre.
Aaron ferma rapidement la porte et poussa un fauteuil afin de l’empêcher de s’ouvrir de nouveau. Il alla ensuite à l’autre porte et se rendit compte qu’elle était bel et bien fermée et impossible à ouvrir. Le verrou en métal paraissait neuf et solide. Il n’était même pas sûr qu’une balle pouvait l’aider à ouvrir cette porte. En plus, il n’avait aucune idée de ce qu’il y avait de l’autre côté. La part optimiste qui était en lui optait pour une ruelle sans zombie, la part pessimiste croyait plutôt au café remplis de clients qui souhaitaient tous avoir un steak de chair humaine accompagné d’un millésime sanguin. La situation était vraiment mauvaise. Heureusement, si on pouvait penser que c’était une chance, si il ne pouvait ouvrir la porte à cause du verrou, les monstres ne devaient pas y arriver non plus, et il y avait suffisamment d’objets dans la pièce pour se barricader.
Mais ce n’était pas un plan acceptable à long terme pour leur survie. Aaron porta ses deux mains sur son visage et le frotta comme pour se maintenir éveillé puis il observa Elena. Elle n’était vraiment pas dans une forme olympique. Il s’approcha d’elle et s’accroupit pour l’observer.

- Comment te sens-tu ?

Mon corps s’en remit au canapé que j’allais peinturer avec un peu de rouge, là où Aaron m’avait posé. Je m’y enfonçai sans me faire prier. Posant ma tête sur le dossier et fermant les yeux. Un bras posé sur mon ventre, l’autre posé lassement sur le canapé. Je voyais quelques entailles en surface sur ces derniers. Je sentais aussi la porte ce claquer, des bruits de divers objets déplacés et Aaron remuer dans tous les sens. Je sentais sa panique venir jusqu’à moi. Ah, si seulement… si seulement je n’avais pas été aussi stupide ! Nous ne serions pas dans cette situation. Si déjà je pouvais me supporter moi-même, tout serait tellement… plus facile ? Si je ne lui avais pas mentie, si les marches n’avaient pas céder, si je n’avais par couru dans ces foutus marches !
J’ouvris les yeux en direction de la porte pour la regarder longuement, Aaron avait placé un fauteuil pour bloquer l’accès, je ne savais pas si c’était suffisant. Je reportai ensuite mon attention vers celui qui s’inquiétait de mon sort. J’avais l’air… affaiblie, j’avais juste envie de fermer les yeux.

On fait aller… fis-je à voix assez basse.
Je fermai ensuite les yeux. Je suis désolé…
Mon cœur fit un bond dans ma poitrine lorsque j’entendis des coups répétés sur la porte.

Surpri par les bruits répétés à la porte, Aaron se releva aussitôt. Les bruits se faisaient de plus en plus forts et répétés, la porte, elle, commençait dangereusement à vaciller à chaque coups. Par mesure de précaution, il décida d’ajouter quelques éléments à sa barricade de fortune. Notamment une table de salon, un autre fauteuil et une étagère. Résultats: il était exténué mais la porte tiendrait bien plus longtemps. Voilà pour leur sécurité, mais pour leur avenir, ce n’était pas encore ça. L’autre problème maintenant c’était Elena, sa santé. Il n’était pas compétent pour mesurer correctement ses blessures, et encore moins pour les panser comme il le fallait. Si ça avait été lui le blessé, elle au moins, de par son statut de SWAT, aurait su quoi faire.
C’est en ayant cette pensée que Aaron eut une autre idée.

- Dis moi, Est-ce que tu as une radio sur toi ? Histoire de prévenir tes collègues de ton état et de ta localisation ?

Voilà son plan maintenant: croiser les doigts pour que d’autres SWAT viennent récupérer leur agent… Et sortir Aaron de ce trou par la même occasion. Il n’y avait plus qu’à espérer que Elena ait le matériel adéquat, sans quoi il ne saurait vraiment pas quoi faire…

Je restai quelques secondes silencieuses, fronçant les sourcils comme si je réfléchissais à la question qu’il venait de me poser. J’avais bien sur un… genre de taki-waki sur moi, pour communiquer avec le reste de mon équipe, je craignais par contre qu’elle soit défectueuse à cause de la chute que j’avais prise et tout le reste. Je levai mon bras droit que je montai au niveau de ma poitrine pour que ma main couverte de sang vienne toucher le dessus d’une poche surélevé par un objet à l’intérieur. Tant bien que mal j’enlevai le velcro pour l’ouvrir et sortir ce qu’Aaron voulait. D’une main un peu tremblotante je le lui tendis.

Se faire disputer après mon départ de la base, de la manière que tout c’était présenté et de la manière dont j’avais risqué ma vie, et que je risquais maintenant celui de la personne avec moi… Plus rien à faire, ça ne comptait plus. Le plus important, c’était ce sortir de cette impasse… vivant.

Aaron prit la radio que Elena lui tendit. Ne sachant pas trop sur quelle fréquence se connecter, il se contenta de l’activer. Quelques grésillements se firent entendre. Il appuya sur le bouton pour parler et lança:

- Allô ? Je m’appelle Aaron Valefore, je suis en compagnie d’Elena, une membre du SWAT nous avons des problèmes. On est coincés dans un café, des Zombies sont partout.

Il donna ensuite les indications nécessaires pour trouver le bon café et donc pour les retrouver eux. Il lâcha ensuite le bouton, attendant une réponse. Mais il n’entendait pas grand-chose à part les grésillements. Il répéta ce qu’il vînt de dire et attendu encore, en priant de toutes ses forces pour que quelqu’un lui répondre et vienne les sortir de ce pétrin. Il lança même un regard à Elena, signifiant: « ils n’ont pas l’air bien organisés au SWAT ». Mais il ne fit pas de remarque orale, pensant que la jeune femme avait autre chose à faire que de recevoir des critiques de la part d'un jeune homme qui utilise la plus grande partie de ses capacités mentales pour s'empêcher de paniquer. Il aurait bien apprécier de faire du yoga, mais il n'avait pas envie qu'Elena croie qu'il soit complètement fou.

[HS. A notre sauveur de répondre ^^]

Tom était à la base entrain d'astiquer ses armes sous sa tante. Pour l'instant tout était calme, aucune mission n'avait été signalées ..tant mieux, il avait plus de temps pour lui. L'agent entendit un bruit, comme un grésillement qui venait de sous son lit. Il posa son Baretta sur sa valise qui lui servait de petite table. Il s'allongea sur le sol pus paerçut son talki-walki qu'il avait perdu à la dernière mission.

-Super ..

Il tendis sa main puis le saisit. Il remarqua que le bouton était vert et que l'écran était allumé. Il s'assit sur son lit puis chercha le bouton pour débloquer le signal. Il entendit une voix masculine qui se présentait sous le nom de Aaron Valefore et qu'il était avec Elena, sa chef d'équipe. Tom appuya sur le bouton qui ne marcha pas desuite,c'est pour cela qu'il écouta une deuxième fois le message. Il put comprendre qu'ils étaient coincé à Montreal avec une compagnie de Zombies.

-Je vous reçoit, cinq sur cinq. Je vais venir vous chercher, tout de suite.Surtout ne bougez pas !!

Tom garda son talki-walki sur lui et attrapa son Baretta et une trousse de secour qu'il mit dans son gilet.
Il mit le contact de la première voiture qu'il trouva puis fila à Montréal.

Je soupirai de soulagement, les yeux fermés, lorsque je vis que la radio fonctionnait. Je me pris même à relever la tête en l’air pour l’appuyer sur le dossier à presque remercier ciel et terre qu’elle fonctionne, et que quelqu’un soit au bout du fil.
Ma main appuya sur une blessure qui me faisait me vider de mon sang, et je regardais Aaron qui transmettait un message de S.O.S. en me critiquant presque du regard.
Un faible sourire vint éclairer mon visage lorsque je me rendis compte qu’il s’agissait d’Hayden qui avait répondu, et je ne trouvai rien de mieux que de dire :

Tu lui diras, de ma part… de lâcher l’astiquage de ces armes et, et de se grouiller.
Non méchamment dit, c’était plus en connaissance de cause, il était quand même dans mon équipe.
Un coup par les monstres fendit à un endroit la porte, elle tenait mais, j’avais peur que tout d’un coup, elle cède sous la pression qu’on lui infligeait. Quelques objets qu’Aaron avait mit sur le dessus étaient tombés au sol.
Ça presse… Fis-je impuissante, avec un ton d’urgence dans ma voix.
Je saisis mon 9 mm qui reposait sur le divan et le chargea. Puis chose stupide : j’essayai de me lever, comme si j’allais les attendre. Serrant les dents à cause de la douleur. Mais j’avais eut peine à me rendre ici, sur ce divan, toute seule, et une de mes mains était déjà occupé à appuyer sur une blessure sans en rajouter. Ne pas bouger ? Je savais bien que la meilleur chose à faire dans mon cas, c'était ça : éviter de bouger pour ne pas empirer sa situation.

Aaron fut bien sûr rassuré d’entendre une voix dans le micro de la radio. Un dénommé Tom Hayden qui était apparemment en route pour les rechercher. Il était si heureux qu’il ne prit pas le risque de vexer leur sauveur potentiel en répétant la remarque sarcastique de Elena, bien qu’il eut pour la première fois depuis longtemps un vrai sourire après la remarque de la jeune femme.
Puis, la porte qu’il avait barricadée reçu un coup de trop et montra ses premiers signes de faiblesses, par réflexe Elena avait sorti son arme. Aaron lui, se contenta d’apporter quelques précisions fortes utiles à l’intention de Tom.

- S’il vous plaît, faites vite et… n’hésitez pas à venir chargé.

Suite à cela, il posa le talkie-walkie sur le divan pré de Elena, et se précipita pour remettre les objets tombés contre la porte, histoire de ralentir et d’embêter les zombies. C’était que chaque seconde de gagnée comptait.
Comme il n’y avait plus trop d’objet pour bloquer l’accès, Aaron utilisa alors son corps pour forcer cette maudite porte à rester close. Le tout en pria pour que le fameux Tom Hayden sache conduire et ne se perde pas en ville…
Puis il jeta un autre coup d'oeil à Elena, qui semblait pas mal souffrir de chaque mouvement. Avec une voix qui se voulait légère, il lui lança:

- Et vous, vous n'avez pas intérêt à perdre tout votre sang ici, je n'aurai pas envie de revenir pour nettoyer le sofa !

Tom avait prit une Jeep pour se rendre à Montréal. Il avait reçut comme indication un café assez réputé mais qui était bien sûr .. maintenant en ruine. Tom appuya sur l'accélérateur et finit par rentrer dans la ville après cinq minutes. Montréal était toujours aussi désert même si elle abritait des zombies à perte de vue. L'agent percuta quelque chose sur le chemin et regarda dans le rétroviseur tout en continuant de rouler et bien évident, il sagissait d'un mort-vivant.

*Ben ça fera un zombie de moins ..*

Tom regarda son GPS et fini par trouver le fameux café. Il sortit de la Jeep puis sortit son Baretta qu'il positionna en mode défense. En effet on entendait un bruit sourd mais à la fois mouvementé. Tom compris que les deux otages étaient coincés et que les zombies voulaient défoncer la porte pour leur faire un petit coucou. L'agent rentra dans le rez de chaussez en prenant garde à ses arrières. Il se trouva nez à nez devant un escalier en ruine qui avait dut s'écrouler, il y a de cela peu de temps. Il attrapa sa lampe torche puis éclaira le fon du trou. Il y avait toujours beaucoup bois répandut sur le sol et aparemment il s'agissait d'une cave. Tom entendit encore ses bruits qui venaient de moins en moins loin. Il sauta dans la cave et posa sa lampe sur le dessus de son Baretta. Un encadrement de porte était à sa gauche et lui dévoila les causeurs d'ennuis. Plusieurs zombies avaient montés des escaliers pour atteindre une porte, qu'ils n'arrivaient pas à ouvrir. Ceci-dit il ne pouvait pas passer par ici, c'était trop dangereux. Il entendit une voix familière, celle de Elena.

*Ok, ils sont derrière cette porte ...*

Tom chercha une issue mais bien évidemment il n'y avait rien du tout a part cette porte. L'agent fit demi-tour et remonta par le trou des escaliers. Une écharde se planta dans son doigt mais il n'y pretta pas attention. Il ressortit du café et fit le tour du batîment. Il éteigna sa lampe et la rengea dans son gilet puis il apperçut une fenêtre au second étage dont les carreaux avaient été cassés. Seulement se rattraper sur du verre ça allez fortement lui taillader les mains. Tom attrapa une poubelle sur le côté et la posa contre le mur. Il se saisit de son chiffon et le déchira en deux et se les enroula autour de ses mains. Il monta sur la poubelle puis sauta pour rattraper le bord de la fenêtre. Il finit par voir les deux otages et se hissa par la fenêtre en tombant sur le sol. Il enleva les chiffons de ses mains tout en se relevant:

-Quel accueil! Vous avez de la chance, c'est zombies m'ont l'air très déterminés.

Tom souria et rengea ses chiffons puis éteigna son talki-walki. Il vut alors le jeune homme qu'il l'avait appelé: "Aaron Valfore" Il était entrain de bloquer la porte en la poussant. Tom repoussa les meubles qui étaient tomber pour les remettre contre la porte.

-Bon alors, est-ce qu'il y a des blessés?

Il se retourna et vit son chef de la section Alpha qui était très mal au point.

-Chef! Je vais vous arrenger ça, restez assis. Et puis lâcher moi ça.

Tom attrapa son arme et remit Elena dans le canapé. Il sortit sa trousse de soin de son gilet et attrapa son désinfectant et un rouleau de bandage. Il lui donna un de ses bouts de chiffon qu'elle devait placer entre ses dents.

-Mordez ça, cela risque de faire mal.

Tom sortit le désinfectant et lui en versa sur la plaie de sa jambe. Elena c'était aussi ouvert à ses bras, il refit la même action puis attrapa le bandage qu'il coupa avec son couteau qui était dans sa botte. Tout en enroulant ses blessures, il s'adressa à Aaron.

-Encore un effort,j'ai presque fini, après on gicle!

L'agent fini de soigner son Chef puis se releva en rengeant ses affaires et reprit le chiffon entre les dents d'Elena. Une porte plutôt blindé était de l'autre côté de la pièce, il esseya de la défoncer, mais rien à faire et les balles ne pouvaient rien contre cette ouverture qu'il ne l'était pas. Bien sûr n'ayant aucune clefs, il fallait trouver quelque chose pour l'ouvrir par la serrure. La fenêtre par où il était rentré était maintenant gardé par deux autres zombies. Tom ne trouva rien de bien convaincant pour ouvrir la porte blindé. Il finit par reprendre son couteau et arracher une prise ...

La remarque d’Aaron sur le fait que je retapais la salle de nouvelle couleur me fit à la limite rire, mon rire se termina cependant en toussotement. Cette « toux » s’étant arrêté après quelques coups je pu dire : Ouais… je ferai le message à mes vaisseaux sanguins…
Mon coéquipier ne mit pas énormément de temps à arriver, heureusement. Au premier abord il remarqua Aaron et la porte qui allait céder, puis il se rua vers moi pour me forcer ou m’aider à me rasseoir, et il m’enleva mon arme, c’était peut-être mieux ainsi.
Tom allait m’arranger ça… je vis le sortir ce dont il avait de besoin, et j’étais vraiment pas très sur que j’avais envie de me faire arranger finalement…

Je mordis solidement dans le chiffon que m’avait passé Tom. Aller savoir si les premières personnes qui avaient inventé ce truc avaient d’avantage pensé à faire taire les cris et complaintes des blesser que du reste aidé les victimes à passer un moment de douleur intense.
Dans mon cas, j’opterais pour les deux, plus j’avais mal, et plus je serrais, et plus je serrais plus j’essayai de contenir mes gémissements étouffés. Mes mains serraient le rebord du divan alors que le liquide que Tom m’appliquait chauffait, et que ces bandages se nouaient solidement sur mes blessures les plus profondes comme celle que j’arborais fièrement au niveau du ventre. Des gouttes d’eau perlaient de sur mon front, des larmes aux coins des yeux, bien qu’ils fussent fermés, et j'avais le souffle coupé bien que mon coeur s'affolait Lorsque Tom reprit son chiffon, sans résistance de ma part, je pu souffler pour de bon et reprendre mes esprits.

Bien qu’il fut très heureux de voir Tom débarquer, Aaron ne put trop s’empêcher d’être déçu de le voir arriver seul. Mais bon, grâce à cette arrivée, leurs chances de survie augmentaient de 30 bons pourcents. La priorité de leur « sauveur » fut de soigner Elena, ou plutôt de la remettre sur pied apparemment. Aaron, lui, continua à tenir la porte pendant que Tom s’occupait d’elle.
Les zombies, eux, avaient du sentir qu’il y avait une personne de plus à l’intérieur parce qu’ils avaient redoublé en vigueur, et le jeune artiste en suait un peu pour tenir sa position, à tel point qu’il ne pu trouver le bonus respiratoire nécessaire pour presser les deux agents du SWAT.
Le côté positif, c’est qu’Elena semblait aller mieux. Tom, lui, se dirigea vers l’autre porte et s’occupa personnellement du verrou qui avait posé tant de problèmes à Aaron, loin d’être un expert en crochetage. Le jeune homme, en attendant lança à Elena un regard plein d’espoir, avec l’objectif secret de la convaincre de lui donner un coup de main.
Au milieu de tout ce désordre, les pensées de Aaron commençaient à perdre de leur cohérence, aussi, il se demanda vaguement pourquoi il était ici. La réponse lui vient à l’esprit au même moment où les zombies vinrent à faire un joli trou dans la porte.

* C’est parce que j’ai traîné à China town, bien sûr… *

Tom finit par arracher la prise avec son couteau, puis il détacha un fil de fer qui était callé à l'intérieur. L'agent se releva rapidement puis incerra le fil de fer qu'il avait bricoler pour que cela ressemble plus à une clef. Il fit un premier essais mais cela ne marcha pas. Les zombies continuaient de pousser sur la porte qui avait fini par ceder !
Tom remit son fil de fer dans la serrure puis la porte s'ouvrit.

-Par ici!

L'agent soirtit son Baretta et tira sur le zombie le plus proche. Celui tomba à terre et retarda les autres. Tom attrapa l'épaule de son Caporal. Puis l'amena vers la sortie.

-Aaron ferme la porte en sortant. Elle est prévue pour être vérouillée de l'extérieur.

Tom sortit avec Elena et jeta un coup d'oeil sur l'extérieur. Pour l'instant, il n'y avait rien, mais dehors, il y avait toujours des morts-vivants et pour cela il fallait profiter de la zone libre pour regagner la Jeep. Tom marcha avec garde en direction de la voiture qui était visible à l'oeil nu.

-Ok, Aaron suis moi et sécurise l'arrière.

Je vis le regard que me lançait Aaron, mais je ne me sentais pas capable de venir l’aider. Pourtant j’aurais voulu m’y précipiter, j’avais l’impression qu’il n’allait pas tenir longtemps comme ça, avec la bande avide de sang de l’autre côté. Je m’excusais mentalement, lançant vers lui un regard presque désolé, montrant mon désarroi à ne pas pouvoir lui venir en aide.

Puis les choses allèrent au ralentit, comme dans les films. La porte craqua, le trois quarts des objets devaient traîner sur le sol. Hayden ouvrit notre porte de secours au même moment. Un coup de feu fut résonna puis Hayden m’aida à me déplacer. Je souffrais encore de mes malheurs passés. Je le laissa ainsi me traîner à l’extérieur .Je pensais : Voilà, on va s’en sortir! Mais j’oubliais que je m’étais réfugiés, au départ, parce qu’à l’extérieur s’est jamais sûr. Le boulet temporaire que j'étais tenait son arme d'une main valide, bien qu'elle savait qu'elle aurait peut-être peine à avoir les reflexes de s'en servir.

Heureusement, Tom finit par ouvrit cette maudite porte. Heureusement car celle que surveillait le jeune homme n’allait pas faire long feu plus longtemps. Ainsi, il ne se fit pas prié plus longtemps lorsque l’agent lui demanda de venir pour couvrir leurs arrières.
Aaron fonça et prit soin de claquer la porte derrière lui. Il eut alors le grand plaisir d’entendre le doux bruit d’un verrou.
Sans hésiter plus longtemps, il sortit son Beretta, qui, en dépit de son petit nombre de balles, pourrait dissuader quelques morts-vivants de s’approcher de trop pré. Il vit qu’ils se dirigeaient vers une Jeep, mais il se força à ne pas laisser son attention sur leur moyen de transport salvateur, il balaya les arrières du regard, comme on lui avait demandé, tout en se retournant de temps en temps pour suivre le reste de l’ « équipe ».
C’est ainsi qu’ils progressaient et s’approchaient de la Jeep et peut-être par la même occasion, de la fin d’une mauvaise journée. Mauvaise dans le sens où il avait prit des risques pour pas grand-chose au final, si ce n’était sa rencontre avec ses premiers agents du SWAT. Mais il ne savait pas encore si c'était une bonne chose, son opinion était mitigée quant à leurs performances. Mais c'était peut-être juste la situation en question qui le rendait un peu trop ironique...

Tom et le reste de l'équipe progressèrent peu à peu et se rapprochèrent de plus en plus de la Jeep qui les attendait impatiemment. Ils longèrent les murs des batîments en restant toujours sur leurs gardes. Bien qu'ils leurs restèrent moins de dix mètres, une troupe de morts-vivants arrvièrent par l'arrière. Les trois armes réunis n'allaient pas faire long feu, il fallait trouver autre chose de plus efficaces et qui leur permettraient de prendre de l'avance. Tom s'arrêta et demanda à Aaron de prendre Elena pour qu'ils rejoignent la voiture.

-Allez s'y ! J'arrive !

Tom courrut en direction des zombies toujours aussi répugnant et determinés à se jeter sur eux. Il rengea son arme et grimpa sur un conténaire afin d'atteindre un toit pas très élevé. Enfin en haut, il fallait faire vite, la Jeep était sur un croisement et de l'autre côté six morts-vivants se dirigeaient vers Aaron et Elena. Tom s'approcha des échaffaudage posés sur le toit de l'immeuble puis les poussa sur le premier groupe de morts-vivant.Ceci-fait il redescendit en sautant et rejoigna les deux jeune gens. La route étant maintenant bloqué il devait s'occuper des autres zombies. Aaron et Elena avait rejoint la Jeep. Tom allongea sa course et sortit son Berreta, il sauta sur le siège avant et démarra la voiture, il regarda dans le retroviseur puis se retourna légèrement et visa un bidon d'essence qui explosa sur le coup de la balle. Les cadavres furent éjectés à plusieurs mètres et finissèrent de brûler.Il appuya sur l'accélérateur et finit par sortir du carrefour.

-Désolé pour l'attente.

[ Dans les deux sens du therme hein Tom ? ^^ ]

C'était ça, aussi simple que ouf ? Aussi simple qu'ouvrir une petite porte, s'y glisser, et sentir l'air qu'aujourd'hui, on pourrait qualifier de libérateur, sur sa peau. Je regardais autour en me disant en même temps ; est-ce que je porte malheur? En moins de deux jours je remarquai mon défaitisme croître, enfin, pas juste ça...

En regardant autour je me demandais également si la chose qui m'avait faite perdre le contrôle de la voiture en sautant sur le dessus était encore là. Mais si je ne voyais rien d'alarmant de ce côté, de l'autre des zombies nous collaient au train... Comme un paquet je changea de main et fut transporté jusqu'à la Jeep. Je me sentais un peu comme un fardeau...

Je pris place dans la Jeep, entendis les portière de l'auto claquer et après avoir entendu une explosion, je fut l'auto que j'entendis démarrer.
Je regardai un instant derrière, médusée, pendant que nous roulions, comme étonnée qu'on s'en sortent aussi facilement. L'idée que je portais réellement malheur me surprit encore une fois lorsque je levai tournai la tête vers Hayden qui était sortit de là sans une égratignure ou Aaron qui semblait être prêt à courir le marathon, enfn...
Hayden tenu à s'excuser pour l'attente. Je balayai l'air de ma main gauche devant moi.

Oh... sa va aller pour cette fois... Affirmais-je avec peu de conviction en me disant qu'il venait quand même de nous sauver la vie! ...