Please Help [ Pv Jameson O'Reilly ]

*Ils approchent*

Une dizaines de contaminés arrivaient de chaque côté de la rue. Le policier venait tout juste de me tirer dessus avec son arme, j'éprouvais de grande difficulté à me déplacée. Cette fois ci, j'étais en très mauvaise posture, une des seules solutions possibles à une situation comme celle ci était la mort. J'analysa rapidement la rue pour trouver un endroit quelconque que je pourrais facilement atteindre sur une seule jambe. Il y avait un magasin juste en face dont le volet n'était pas entièrement fermé. Je me déplaça en sa direction. A la moitié du chemin, je n'avais d'autre choix que de continuer en rampant. J'atteignis finalement le volet et je rentra dans le magasin poursuivit par d'autre mort vivant. Après plusieurs tentatives, le volet se ferma enfin, j'étais sauve. Il résidait une odeur de cadavre dans cette endroit. Je pris un baton de bois entreposer sur le comptoir et je commença mon exploration. Des morts, des dizaines de morts, c'est tout ce qu'il y avait. Mais dans cette endroit lugubre, j'etais bien loin d'être seule. J'entendis un bruit sourd provenant du sous sol, puis plus rien. Mon premier objectif était de sécurisé cette endroit afin que la nuit se passe sans incident majeur. J'ouvris la porte menant à l'étage au dessous, j'alluma la lumière et commença mon exploration, toujours avec mon arme blanche à la main. Je ne savais pas ce qui me poussais à me rendre dans cette endroit, je pouvais très bien barricader la porte, mais j'avais une envie folle de savoir qui avait causé ce bruit. Le sous sol se composait de trois pièces, je fouilla la première et la deuxième sans grand résultat. Le bruit provenait de la troisième et plus précisément d'un placard. Avant que je puisse ouvrir cette fameuse armoire, la lumière s'éteignit brusquement. Je me trouvais maintenant dans le noir complet et le placard d'où provenait les bruits étrangent s'ouvrit. Je fus prit de panique, mon rythme cardiaque accéléra et mon corps tout entier tremblait. Je revins tout doucement sur mes pas lorsque que je heurta un objet qui causa un vacarme monstre. C'est après ce bruit que j'entendis des pas dans la pièce, c'était des contaminés qui se trouvaient dans le placard. J'essaiyais de ma déplacer mais je me hurta à beaucoups d'objets. Un m'attrapa ma jambe droite, je réussis à me débattre.
Après plusieurs minutes enfermer dans cette enfer, je trouva enfin la sortie mais à peine avoir posée le pied au rez de chausser, un zombie se trouvait en face de moi. Ils avaient ouvert le volet du magasin et infestaient maintenant le magasin. Je frappa le premier contaminés et je monta à l'étage, poursuivit par une meute de mort vivant. Il n'y avait qu'une chambre au 1er étage, je ferma la porte mais celle ci ne résista pas longtemps. J'ouvris alors la fenêtre et je sauta pour atterir une nouvelle fois dans la rue. Après cette chute, impossible de me relever. Je devais donc ramper, avec des zombies à mes trousses. J'étais morte, cette fois ci c'était sur.

"Au secourt, aider moi !!"

C'est ainsi que,pour la première fois de ma vie, j'appellais à l'aide.

Depuis sa fuite...

Déja 4 jours que James vivait, ou plutôt survivait, a Montréal.
Depuis sa fuite tumultueuse de prison il ne s'en était pas trop mal
sortit, autrement dit, il avait déja vécu pire. Bon c'était vrai que
l'écrasante majorité des habitants de Montreal s'étaient transformés en
morts vivants, mais bon... Il fallait faire avec, non ? Après un an de
taule, dont plusieurs mois au trou a cause d'un mec qui lui avait
chercher des noises... Au moins... Il était libre, et en plus, il avait
même trouvé de la dope ! Le bureau des saisies de la prison était digne
de celui du pire comissariat de New York ! Il s'en était donné a coeur
joie et s'était remplit un sac entier de drogues diverses. Le plus dur
avait été de se retenir de se faire un rail sur le moment en fait.
Quelques heures plus tard il soulagea son manque a grands renforts
d'aspiration nasale, la poudre blanche le calma, le rendant encore plus
indifférent du monde qui l'entourait. Mais il ne perdais pas le nord
pour autant ! Il avait trouver de quoi festoyer dans les restes d'une
épicerie, le whisky le plus cher et le meilleur, avait calmer ses nerfs
une fois de plus. Bref, James s'était complétement déchiré la gueule !
Heureusement sa survie outrepassait tranquilement l'effet des drogues,
et son astuce ne lui avait pas fait défaut. lorsqu'il sortait de ses
planques, uniquement lorsqu'il était plutôt clean, il n'oubliait pas
les règles qu'il s'était imposé ! Esquiver les Zombies et courir quand
il le pouvait, en cas de problèmes ou d'encerclement, viser la tête,
s'ils étaient vraiment trop nombreux, oublier l'objectif et chercher
une planque. Durant ses quatre jours il n'avait croisé que quelques
soldats en expedition. Une équipe de trois qui recherchait des vivres,
prudement James ne s'était pas approché et les avait espionné.
Apparement il y avait un camp de réfugiés ou des survivants
s'abritaient. Bien ! Il savait quoi faire maintenant...
Il allait monter un réseaux de contrebande, une sorte de marché noir,
et revendrait au prix cher au camp, vivres et armes pour les soldats et
drogues pour les réfugiés.
Aucun doute vu la conjecture actuelle, du succès des drogues, se dit-il
! Et peut-être qu'il trouverait un hélico ou quelque chose du genre
pour se casser de ce bordel...

Rencontre hasardeuse...

Un vacarme assourdissant se fit entendre réveillant James de son
lourd sommeil de cocaïnomane, un léger mal de crâne se faisait sentir
mais aucun mouvement suspect dans les environs. De la chambre de
fortune, qu'il avait sécurisé, rien n'avait changé. Il s'approcha de la
fenêtre et jura intérieurement, une femme, un peu plus loin dans la
rue, vivante de toute évidence, entra en rampant dans un magasin.
Fermant le rideau de fer derrière elle, les zombies tentèrent vainement
de l'ouvrir, puis, au bout d'un moment, l'un d'eux réussit et ils se
précipitèrent aussi vite qu'ils le pouvaient, c'est a dire relativement
lentement, a l'intérieur. Le regard attristé de James se redressa vers
la fenêtre au premier, au dessus du magasin, le seul échappatoire de la
survivante. Mais elle ne venait pas, elle avait du mourir maintenant et
il faisait mieux de quitté le quartier qui pululait a présent. Il
sautat par la fenêtre et se récéptionna maladroitement mais sans casse
dans la petite rue. Un gémissement se fit aussitôt entendre, mais plus
loin, surement pas pour lui. Redressant les yeux il se figea un instant
en discernant l'ombre au pied de la fenêtre du magasin.

*Merde, elle a sauté ! Quelle conne, non seulement elle peut plus
bouger mais elle va faire resortir tous les Zombies du magasin !*

Surpris il se retourna et constata que comme prévue seul le coté de
la rue allant vers le magasin était dégager... De l'autre les Zombies
était trop nombreux, impossible de passer, et ce qui s'annoncait comme
un retraite facile du cotés du magasin vers une autre rue devenait un
véritable calvaire si les Zombie sortait au lieu de festoyer sur le
cadavre de la femme.

*Bon, je n'ai qu'a la laisser se faire dévorer, ca me laissera du temps.*

Il fonca vers le magasin comptant passer a coté de la femme comme si
de rien était, mais alors qu'il s'approchait et la voyait de mieux en
mieux, elle cria, demandant de l'aide. Le cerveau de James fonctionna a
toute allure alors que ses yeux lui dévoilait la jeune femme... Elle
était superbe, l'année qu'il avait passé en prison ne changeait a ses
gouts prononcée pour ce genre de femme, bien au contraire, et s'il
avait eut le temps, il se serait figé devant elle pour la détailler.
Son fin visage au teint pâle qui éclairait sourdement la nuit,
malheureusement déformé par la douleur et la panique. Sa fine et belle
silhouette qui se profilait au sol comme une statue grecque extirpée de
son époque ancestrale. Ses cheveux contrastant durement avec ses
vétements et sa peau, qui brillait dans l'obscuritée urbaine. Et sa
voix douce et forte qui perlait le desespoir touchant directement le
coeur de pierre de James... Son corps fit le reste en envoyant
royalement chier son esprit, durement occuper a commandé le contraire.
Il se précipita vers elle alors que les Zombies comencait déja a sortir
du magasin, et attrapant son bras le passa autour de son épaule, il se
questionna sur la gravité de la blessure qu'il avait remarqué sur la
jambe de la jeune femme, puis la redressa soignesement mais rapidement.

"Allez ! On y va !"

*Hey merde ! Mais qu'est ce que je fais ? Je ne la connais pas le
moins du monde et je me la joue bon samaritain, et les règles ? Merde ! Je penserais a cela plus tard, une planque et vite !*

Essayant de courir en aidant la jeune femme, ils réussirent a peine
a distancer les Zombies avant de tomber au coin de la rue sur un
division complète de mort sur pattes... Paniqué James se rapatria dans
une ruelle attenante et vide. Une ruelle bien sur, sans issue. Levant
les yeux il remarqua un echelle de secours levé qui donnait sur un
balcon 3 ou 4 mètres au dessus de leur tête... Mais comment la
descendre ? Il appuya la jeune femme contre le mur de la ruelle et
degaina son flingue hativement, visant puis tirant sur l'échelle. Un
balle... Deux balles, et Vlan elle descendait vers eux ! Il se retourna
vers la femme et la regarda tristement en l'aidant a se mettre face a
l'échelle.

"Il va falloir que tu grimpe !"

Les Zombies avaient déja investit le bout de la ruelle a une dizaines de mètres de leur position.

*Je sais que ma vie est un véritable fiasco, je sais que je n'en vaut probablement pas la peine dans ce vaste monde. J'ai fait souffrir pas mal de personne. La drogue, l'alcool, j'en consomme régulièrement et des quantités énormes. Peut être que je ne mérite pas de vivre, mais s'il vous plaît, laisser moi une seconde chance!*

Je savais belle et bien que mon heure était venue. Je ne suis jamais aller dans une église et je ne crois pas à une entité supérieur mais quand des personnes non croyantes se retrouve face à une situation desesperer, elles s'en remettes irréfutablement à dieu. C'est ce que je fit, à ce moment là. Un mort vivant arriva sur mon flanc droit et s'abaissa sur mon corps paralysé par le peur. Je me disais que j'allais souffrir pendant dix bonnes minutes, que cette souffrance serait particulièrement atroce, mais après sa je deviendrais comme eux et aucune douleur ne se fera ressentir. Je serais enfin liberée de cette contrainte qu'est la vie. J'étais prête, une larme coula sur mon visage, je n'attendais maintenant que la machoire de ce monstre commence à me dévorée. Je ne sais pas vraiment ce qui se passa à ce moment précis, la personne que je croyais contaminer m'attrapa l'épaule et ont commençaient à fuir le groupe de mort vivant. Est-ce une illusion, est-ce la réalité? Je regarda brièvement la personne qui m'avait porté secours. C'était un homme d'environ 30 ans, il devais probablement appartenir à l'armée ou au force policière. Tout les survivants ne sont pas si différent que sa, ils pensent d'abord à eux avant les autres, et je suis comme sa.
Les morts vivants n'étaient qu'à quelques mètres de nous, vu l'état de ma jambe, nous avions du mal à nous déplacés. Nous arrivâmes dans une ruelle, elle aussi infester de ces bestioles puis nous prîmes une ruelle qui donnait sur un cul de sac. L'homme me plaça contre un mur, je tenais à peine debout, et il tira à deux reprises en l'air. Une échelle s'abbatit sur le sol et il me plaça en face. Il me regarda d'un air triste ayant compris que ma blessure à la jambe m'empêchais de faire de gros effort. Je commença donc à escaladée cette échelle avec une grande difficulter, je lâche prise à même pas un mêtre du sol. L'homme me releva puis me remit face à l'échelle. Il regardait le groupe de mort vivant s'approcher de leur deux festins, on m'avait donnée la chance de survivre encore un peu, je ne pouvais pas gâcher celle ci. Je pris mon courage à deux mains et recommenca à grimpée, aider par mon sauveur. Nous réussimes à atteindre le balcon, qui devait se situer à environ quatre étages du sol. L'homme releva l'échelle puis brisa la fenêtre afin que l'on puisser rentrer dans le bâtiment. Le balcon donnait sur ce qui semblait être un appartement ou une chambre d'hôtel. Il y avait un lit et une salle de bain. On reprit tout deux notre souffle, puis je me dirigea en direction de la salle bain et j'ouvris une boite à pharmacie afin de trouver des bandages. Je revins dans la chambre, l'homme n'avais toujours pas prononcer de parole, il ne faisait que me regarder. J'applica le bandage sur ma blessure, afin de stopper le saignement, puis je m'allonga sur le lit. Je repensais à toute les conneries qui avaient traversées mon esprit il y a de cela quelque minute. J'esquissa un sourire et j'allais être sur le point d'entamer la conversation avec mon sauveur, non pas pour le remercier de ce mauvais pas, mais pour lui demander quelque chose qui me tenait à coeur...

"Tu n'a pas de la dope, quelque chose qui te remet sur pied en moins de deux?"

L'homme ne devais certainement pas s'attendre à ce genre de demande de la part d'une femme qu'il venait tout juste de sauver. Cette homme était beaucoups plus agé que moi mais il en restait pas moin séduisant. Peut être avais je eu de la chance de tomber sur lui après tout.

"Moi c'est April, je peut paraitre un peu brusque sur certaine parole, faut pas y prêter attention.... Mer..Merci de m'avoir sauvée. Je pense que tu attendais des remerciments, après un tel exploit. Mais dit moi, tu fait partis de la police ou encore de l'armée? Si c'est le cas, nos chemins s'arrête ici"

L'adrénaline n'avait jamais été aussi forte, ils réussirent de
justesse a s'en tirer, une fois sur le blacon, James en regardant
dédaigneusement les Zombies qui criait plaintivement leur défaite,
remonta l'échelle. Il brisa la vitre qui les séparait d'une petit
chambre d'hotel miteuse et aida la jeune fille a y pénétrer. Pendant
qu'elle se dirigeait vers la salle de bain, surement pour nettoyer sa
blessure, lui ouvrit la porte de l'appartement silencieusement et jeta
un oeil dans le couloir, désert... Tant mieux, les autres apparts de l'étage était fermé et l'escalier au bout du couloir serait un obstacle suffisant pour l'instant.
Il referma la porte en jetant un coup d'oeil plus attentif vers la
chambre, rien d'intéressant, enfin, en dehors de la superbe femme
allongé sur le lit qui le regardait en souriant. La détaillant des yeux
cette fois il pris consience que son premier avis avit été exact.
Maintenant qu'ils étaient au calme, il ne pouvait que savourer sa
superbe prestance malgré sa blessure, et son visage d'ange
diaboliquement beau. Se rafraichissant les idées il attrappa une chaise
et la placa face au lit, a à peine un mètre de la jeune femme. C'est
alors qu'elle délivra de surprenante paroles.

*De la dope ? Je rêve, cette fille est elle encore plus taré que
moi ? En tous cas elle n'a pas tort, je dirait rien contre un peu de
blanche neige après ce que l'on vient de subir.*

"Eh bien, si je m'attendais a ca, t'est tombé sur la bonne personne alors, je te prépare ca."

Sortant de sa poche un
petit pochon emplit de poudre blanche d'une main, et rapprochant la
table de nuit au bord du lit pour la mettre a sa gauche de l'autre. Il
deversa un peu du couteux contenue sur la petite table basse pour sa
camarade et s'en mit un peu sur la main, au dessus du pouce avant de la
sniffer rapidement. Il réitera l'opération avant de s'allumer un
cigarette, posant le paquet sur la table, au cas ou elle en voulait
aussi. Il n'en avait pas pris beaucoup mais préferai rester un peu
clean vu qu'ils n'étaient pas en totale sécurité. Alors que la doper
commencais déja son effet un léger sourire satisfait s'afficha sur son
visage, alors que le monde qui l'entourait, en dehors de cette femme,
semblait moins intéressant. Elle se présenta pendant que James la
dévisageait.

"Tu déconne... April, est ce que j'ai une gueule de flic ? Je m'apelle Jameson, Jameson O'Reilly, appelle moi James."

Bizarement il avait décidé de faire confiance a la jeune fille, ce
n'était évidement pas une flic ou autre chose du genre. Mais elle
pouvait connaitre son nom si elle avait quelques liens avec le milieu,
ce qui ne l'aurait pas étonner, vu son aisance et son addiction. A vrai
dire, il ne s'en souciait pas, elle était jeune, faisant la vingtaine,
belle et lui voulait en savoir plus sur elle. Donc autant en dire plus
sur lui et lui accorder un peu de confiance.

"Oublie ca. Je ne veut pas de remerciement,
je ne dirais pas que c'est normal, normalement je t'aurais laisser
crever. Mais ca fait un moment que je vadrouille dans ce bordel seul,
je commencais a m'en lasser. Disons que tu a eut la chance de me
croiser au bon endroit, au bon moment."

Abregeant pour ne pas finir par parler
pour ne rien dire, il sortit sa bouteille de whisky de son petit sac a
dos et un bu une longue gorgée avant du tiré un latte sur sa cigarette.
Voila qu'il commencait a se détendre, plantant ses yeux dans ceux de sa
complice il reprit en posant la bouteille a ses pieds.

"Dis-moi, d'ou viens tu, ou plutôt comment as-tu survecu ? Et... Quel age a tu ?"

*Faut dire qu'une fille de vingt et quelques
années qui survie dans ce bordel six jours, est aussi jolie que toi, et
en plus sait faire la fête... C'est pas courant. J'y pense, la
situation est assez ironique, la dernière fois que je me suis retrouver
dans un chambre d'hotel avec un aussi jolie fille et de la dope c'était
pas pour parler.*

*Peut que je devrais lui faire confiance après tout. Quelque chose d'étrange se dégage de cette personne, mais je ne vois pas ce que cela peut être pour le moment. Puis bon, être toute seule dans ce véritable cauchemard risque de me couter la vie à un moment ou à un autre. On verra bien ce qui arrivera*

Ma surprise fut grande lorsque qu'il sortit de la drogue de sa poche. Sur toute les personnes que j'avais dépouillée ces six derniers jours, aucune ne possédait cette poudre qui nous ais si cher. Il placa la table de nuit au pied du lit et prépara la drogue. Il en prit, puis en laissa un pour moi. Je la pris immédiatement et la consomma tout aussi rapidement. On pouvais vraiment dire qu'elle était de bonne qualité, contrairement à celle que nous vendais les dealers de Montréal. Le danger est omniprésent, quelque soit l'endroit ou nous sommes. On était la, en train de prendre notre pied, alors que d'autre personnes essayent de fuirent desespérement leur assaillant. Ici je me sentais en sécuriter, après tout il y avait un homme pour me protéger, il n'a pas hésiter une seule seconde à me porté secourt. Par ailleurs il m'affirma qu'il n'était pas dans les forces de polices, ce qui me rassura quelque peu. Je savais maintenant la raison pour laquelle il m'avais sauvée. J'aurais était un homme ou un laideron, je serais morte à l'heure qu'il est. En tout cas pour moi, c'était une raison suffisante. Quant il eut fini de parler, je pris une cigarette dans la paquet qu'il avait posé sur la table de nuit. Je m'allonga une seconde fois sur le lit et commença à consommée une bonne dose de nicotine.

"C'est super que tu ne sois pas un flic. Si sa aurait été le cas, j'aurais usée de tout mes charmes puis je t'aurais assomée pendant ton sommeille afin de prendre ton flingue et te jeter en pature aux zombies. Ta de la chance, tu as évité sa."

Je ne plaisantais pas sur ce point, si il avait été agent de police, j'aurais exactement fait ce que je venais tout juste d'expliquer. Dans cette période de crise, la plupart des policers ou militaires ont une mentaliter totalement différente que lorsque tout tournait rond. Je ne faisais nullement confiance à ces types là, c'est en autre pour cette raison que je n'ai pas rejoint le camp des réfugiés comme tout le monde. Je comptais bien rester dans cette ville contaminer aussi longtemps que je vivrais encore.
Je ne connaissais absolument rien de l'homme qui était en face de moi, je savais juste qu'il consomme les mêmes substances que moi. Il voulait en savoir plus à mon sujet, pourquoi pas, si on doit rester toute la nuit dans cette chambre miteuse avant que le jour se lève, autant se connaitre un minimum.

"On me qualifie souvent de droguée ou tarée. Et tu sais pourquoi, parceque, bien que je n'ai que 19 ans, je suis exactement comme sa. Tu m'a l'air un peu comme sa toi aussi, on devrais bien s'entendre alors..."

Je m'arrêta de parler un instant, continuant de fumer la cigarette presque entièrement consumer. L'homme ne me perdait pas du regard, quelque soit le geste que j'exécutait. Je repris la parole, pour expliquer brièvement comment je suis atterit et survécue dans ce merdier.

"Je squattais un vielle appart avec des potes lorsque cette enfoiré de virus à envahi cette ville. Je suis la seule à avoir survécue. Par la suite j'ai parcourue la ville à la recherche de vivre et de personne à dépouillée. Puis je me suis fait avoir par un flic et tu ma retrouvés presque raide morte dans la rue. Il y a rien d'autre à redire".

Je n'étais pas très douée pour expliquer certain passage de ma vie, je préférais être très brêve. Et puis quelle importance, je suis la et point barre. Cette homme m'intriguait de plus en plus, je me demandais d'ou il pouvait provenir. La raison la plus basique était qu'il était chez lui lors de l'incident, ou peut être même en garde à vue dans un commissariat.
Avant de lui demander, j'enleva mon débardeur tacher de sang. Je rechercha dans l'armoire un quelconque vêtement à ma taille lorsque je tomba à genou. J'avais une très forte migraine, la cause était que, sans aucun doute, j'avais perdue pas mal de sang à cause de la blessure que le flic m'a infligé. Je me releva et m'assit sur le lit.

"Tu n'a pas de l'aspirine ou quelque chose d'efficace pour atténuer la douleur, j'ai un...mal de tête horrible. Et dit moi...toi tu vient d'où? D'un centre de desintox?"

James la regarda se mouvoir élégament sur le lit, reprenant un peut
de whisky il sourit a sa remarque. En effet heureusement qu'elle
n'était pas flic elle aussi sinon il se serait fait un plaisir de lui
faire exploser le crane. Il fumait tranquilement sa cigarette en
l'écoutant et la regardant, assis dédaigneusement. Puis il commenca a
parlé de lui même a la femme.

"J'ai 25 ans, je sors de taule, je devais y
finir mes jours mais le virus ma... Comme qui dirait sauvé. Je me suis
débarasser des gardiens restant, puis j'ai fait les courses sur les
cadavres et au bureau des saisies de la prison. Y a peine un an j'étais
le King dans les rues de Montréal, mais on m'a trahit..."

Il chercha un truc dans son sac et
sortit un pilule ronde, assez petite et de couleur marron clair. Il la
tendit a la jeune fille.

"Faible dose de Kétamine, douleur divisé par
5 pendant plus de 3 heures, c'est pas de l'aspirine, et ce n'est pas
légal en dehors des centres de vétérinaires mais ca marche."

Il lui sourit en lui donnant, puis la regarda d'un air plus sérieux.

"Dis-moi... Ca te dirais de bosser avec moi
? Il y a un centre de réfugiés au nord-est d'ici, si on arrive a y
rentré on pourrait leurs vendres des vivres et de la drogues en leurs
faisant payé le prix fort. Toi et moi on sait comment cela marche par
ici, on se débrouillera mieux que ces millitaires qui cherchent a
sauver tout le monde. On se trouve une planque plus fiable, on fait des
reserves et on monte un marché noir, qu'en dis-tu ? Avec l'argent on
pourra se casser d'ici en moins de deux."

A présent il la regardait droit dans les
yeux fixement, il commencait a mettre son plan en route, monté un
groupe armé sans pitier qui pourrait agir dans tous Montréal, et
revendre les denrées rares la peau des fesses pour se faire un maximum
d'argent avant de se casser. L'argent c'étais la gloire, la richesse et
l'ambition sous une seule et même forme.

[Desoler pas trop d'inspi...]

C'était un taulard, ou plutot un ex-détenu. Grâce au virus, il réussit à s'echappé et à prendre de la drogue en chemin. Je n'aurai jamais devinée, il n'a pas du tout le profil d'un prisonnier, enfin je trouve. Mais son histoire me rappela une discussion que j'avais eu avec une droguée dans un bar. Elle m'avais brièvement parler de cette homme, qui se qualifie lui même de King. A l'époque je ne le connaissais que par ce nom, maintenant je l'avais en face de moi. Je l'imaginai beaucoup plus imposant et très machiavélique. Mais tout compte fait il était une personne sympathique, enfin avec moi en tout cas. Il me donna de la Kétamine pour pallier la douleur. Cela fonctionna presque aussitôt, ma migraine disparut et je ne ressentais plus aucune douleur au niveau de ma jambe. James me fit aussi une proposition qui consistait à que je travaille pour lui. Une sorte de marché noir ou les principaux produits étaient de la drogue et des vivres revendu au prix fort. L'objectif final était que l'on collecte assez d'argent et que l'on se barre de ce cauchemard. Je réfléchis une minute, je m'étais fixer de ne jamais aller dans ce foutue camp. Mais j'avais autant besoin de lui que lui avait besoin de moi.

"Sa m'a tout l'air d'être une excellente idée. Avec tous ses survivants en panique, la drogue se vendra comme des petits pains. Mais à une seule condition, tu devra me protéger pendant toute la durée de notre travail ensemble. Je te préviens aussi que, si tu m'arnaque ou si tu me laisse tomber, je te bute, comprende?"

Il était claire que je ne faisais pas totalement confiance à cette homme, son but premier était peut être de se servir de moi et de me larguer par la suite. Je le surveilllerais de prêt, très prêt...
En ce moment, il devait être dans les environs de quatre heures du matin. On ne pouvait pas rester dans cette endroit plus longtemps, on avait peut être sous estimer les contaminés. Un objet se fracassa au sol, au rez de chaussez, le bruit raisonna dans tout le bâtiment. Ils devaient probablement infester tout l'étage du dessous maintenant. Je jeta un oeil par dessus le balcon, où tout un troupeau de mort vivant stationnait dans la ruelle. Impossible de rapasser par ici. James reprit l'ensemble de ses affaires et il ouvrit la porte de la chambre. Il n'y avait pas âme qui vive dans le couloir. Nous avançames tout deux le long du couloir jusqu'a l'escalier sans faire aucun bruit. Personne non plus dans l'escalier. On descendit au rez de chaussez où des dizaines de zombies recherchaient quelque chose à se mettre sous la dent. Ce fut l'extase lorsque qu'ils nous vimes en haut de l'escalier. Ils se jetèrent litéralement sur nous. On n'eu d'autre choix que de rebrousser chemin, poursuivit, encore une fois. L'escalier se trouvait au millieu de deux couloirs, qui donnaient tout deux sur des chambres, normalement toute verrouiller. Je me précipita dans celui de gauche, avant de comprendre que James venait de prendre celui de droite, celle ou était notre chambre. Dans la précipitation, je n'avais pas réfléchis. Il était trop tard maintenant, les contaminés infestaient l'escalier et me séparait de James. Je n'avais aucun arme en ma possession et les zombies commencèrent à déferlés sur moi. Je commença donc à ouvrir les portes des chambres, toute fermer.

"Aide moi James, ils vont me tuer!"

Je courus au bout du couloir, ou il y avait une fenêtre. J'essaya de l'ouvrir, elle ne s'entrouva que de quelque centimètre. Avec un peu plus de temps, je réussirais à l'ouvrir. Mais il était peut être trop tard, les zombies n'étaient bientôt qu'à quelque mètre de moi.

Il fut stupéfait par le culot d'April, elle était blessé, désarmé et
il venait de lui sauver la vie, mais elle se permettait de le menacer
alors qu'il lui proposait un job en or. Elle en voulait cette fille, ca
c'était sur, James avait souvent vue des caids plus agées de 10 ans et
un flingue a la main se débiner devant lui. Ne perdant pas contenance
devant-elle il repondit au tac au tac.

"Si tu travaille avec moi, tu fais partie de ma
famille, je te protège et tous ce qu'il va avec, mais cela vaut aussi
pour toi, trahit moi et je te tue de mes propres mains..."

Il avait dis cela naturellement mais ces
yeux expliquait tout le contraire, il disait quelques chose du genre:
"Tu est belle, intelligente, et désirable, mais si tu m'entourloupe ta
beauté ne te sauvera pas.". Abrégeant les pourparlers ils se mirent en
route pour un lieu plus sur, mais 5 minutes plus tard ils se
retrouvèrent séparé par une vingtaine de Zombies. Alors que April
l'appelait a l'aide James réfléchit a toute vitesse...

"Fais pas ta Lady et brise moi cette vitre April !"

Esperant qu'elle s'éxecute au plus vite il
rengaina son flingue et extirpa le fusil a pompe de sa poche dorsale.
L'armant et visant a la vitesse de l'éclair il tira directement un
première salve vers les 6 ou 7 Zombies qui avait posé pied sur le
palier de l'escalier et les séparait. 3 d'entres eux tombèrent au sol
mais les autres continuèrent d'avancer vers lui et April. Comprenant
qu'il n'y arriverait pas comme cela il lacha le fusil, ne le tenant
plus qu'a une main et de la main droite sortit un petite bouteille de
son gilet. Du TATP, un esplosif utilisé par les terroriste. Il la lanca
au milieu des Zombies en se courant a l'opposé et en criant.

"A TERRE !"

La bouteille explosa, l'envoyant valser au
sol, le fusil s'appuyant avec un angle obtut sur sa personne lui laissa
échapper un cri de douleur. Il aurait un gros bleu mais ca irait. Se
relevant et rangeant le fusil pour sortir son gun il constat que les
Zombies du palier flambaient gaiement au sol. Bien, mais ceux de
derrière arrivait déja pour prendre la place des premiers et il
n'aurait jamais le temps de rejoindre April.

" April ! On se rejoint au Manoir, direction
nord-est tu ne peut pas le rater ! Tu est plus près de lui que moi
alors ne m'attend pas et fonce !"

Les Zombies dont certains était en flammes
s'avancaient de nouveau vers eux... James ouvrit la permière porte,
heureusement non vérouiller et la referma derrière lui, puis il fonca
vers la fenêtre et regarda ce qui l'attendait au dessous. Désert ! Ouf,
il brisa la vitre d'un coup de crosse et sautat dans la rue, prenant la
direction du Manoir, malheureusement, impossible de rejoindre April,
l'hotel était plutôt grands et elle devait être sortit a l'opposé de sa
position... Il espera qu'elle ne se ferait pas mordre...

Comme me l'ordonna James, je brisa la fenêtre avec mon coude. Il sortit une arme de gros calibre et commença à arrosé les morts vivants. Il finit par sortir je ne sais quel explosif et le lança sur les contaminés, en tuant ainsi un certain nombre. Il était impossible pour lui de me rejoindre, on se donna donc rendez vous dans un manoir situer au nord-est de la ville. James ouvrit la porte d'une des chambres et la referma derrière lui. Je passa par la fenêtre qui donnait sur un échafaudage, un groupe de zombie était dans la ruelle au dessous. Je monta l'échelle qui menait sur le toit. De la je vis un autre bâtiment juxtaposer à celui ci, je pouvais y acceder en sautant sur le toit. Je m'exécuta et je me retrouvais maintenant sur l'autre bâtiment. J'accéda facilement au quatrième étage, très peu éclairer. Je tenta tant bien que mal à me dirigés lorsque je trouva enfin l'escalier. Deux personnes étaient assisent sur les marchent. Lorsque qu'elle tournèrent la tête, je vis clairement qu'elles étaient contaminés mais un détail me frappa, ces deux morts vivants n'étaient autre que des enfants. Mon corps se remit à trembler, mes futurs assaillant se levèrent. Cet escalier était ma seule issue, je sauta donc par dessus la rembarde pour atterir presque un étage plus bas. La douleur à ma jambe reprit mais je continua à descendre le plus vite possible, avec derrière moi un autre groupe d'enfant. Une fois sortit de cette enfer, je continua ma route vers le nord est, toujours avec les enfants à mes trousses.

"Merde! lachez moi un peu bordel!"

Je vis une voiture face à moi,dont la portière était ouverte. Je me dépêcha d'y pénétrer et chacune des portières furent fermer. Le groupe qui me poursuivait se jetèrent sur la voiture. Démarre, démarre! C'était bien sur trop beau pour être vrai. Un contaminé brisa la fenêtre et m'attrapa le bras. Je réussis à me débattre, il était prêt à me dévoré le bras. Je m'extirpa de la voiture par l'autre portière. J'esseyais de courir le plus vite possible mais vu l'état de ma jambe, je ne faisais que boiter le plus vite possible. Ruelle après ruelle, je réussis enfin à les semer et je repris mon souffle. Je me situais non loin d'une pizzaria. Je n'avais pas spécialement faim mais j'emprunta un de leur scooter afin de rejoindre ma destination le plus rapidement possible. Je me sentais en sécuritée sur cette engin, le vent sur mon visage me faisait le plus grand bien. Le manoir ne devait maintenant se situer à même pas kilomètre de ma position, j'espérais que James arriverait avant moi, je ne voulais pas découvrir un nouvelle endroit seule.

*J'espère que James va bien...*

(Voila^^)

Dans un rue de taille moyenne pas trop envahit par les Zombies il courrait a toute vitesse, essayant de repérer a peu pret l'endroit ou il était tombé. Ce quartier ne lui disait pas grand chose, continuant aproximativement vers le nord en joggant il arriva a une petite place ou les Zombies était plus nombreux, mais ils ne l'avait pas vu... Se baissant a moitié il contourna la place en se cachant derrière les voiture. Après une petite minute de ce jeux il compris qu'il était pris au piège. Les Zombies en marchant au hasard, avaient réussit a le coincer dans un coin, il n'avait pas été assez prudent. Et déja un des leurs gémit en le voyant, n'essayant même pas de tiré il fonca droit devant lui et rentra dans un appartement entrouvert, claquant la porte derrière lui, avant de vérifier la zone il monta a l'étage en direction des fenêtrede l'autre coté de l'appart. En au de l'escalier un des leurs le prit par surprise au coin et l'aggrippa a son gilet, James le repoussa durement et avant que le Zombie ne repasse a l'attaque lui brisa la rotule droite d'un coup de talon puissant. Une fois au sol il en finit avec lui d'une seule balle. Reprenant son souffle il se déplaca plus lentement vers la fenêtre, qu'il cherchait. Ouvrant une porte il arriva dans un chambre obscure avec une fenetre au volet fermer face a lui. S'avancant il ouvrit le volet et c'est alors qu'un bruit sourd se dit entendre derrière lui, le bruit venait de la penderie. Finissant d'ouvrir le volet en surveillant ses arrière il remarqua que la petite ruelle en dessous de lui était deserte puis alors qu'il allait sauter entendis un autre bruit... Différent cette fois, comme une respiration, mais dans ce cas, ce n'était pas un Zombie... Reculant il s'approcha lentement de la penderie et l'ouvrit brusquement en braquant son arme sur les vétements qu'elle contenait. Une femme effrayer armé d'un batte de baseball tenta de le frapper, se baissant il esquiva puis la frappa au visage et récupera la batte en métal d'un geste sec.

"On se calme pétasse ! Je suis pas un balle cherchant le homerun !"

"Mais... S'il vous plait aider moi, ils ont tuer ma famille je me cache depuis, l'un d'eux ma mordu en plus !"

"L'un d'eux t'a mordu ?"

"Oui, mon propre mari..."

"Ok alors t'est foutu poulette, moi je te laisse et je prends la batte ! Elle ne te servira a rien la ou tu va."

"Je vous en supplie attender !"

James sautait déja par la fenêtre foncant dans la ruelle en esquivant quelques Zombies. Il fracassa le crâne d'un autre avec la batte, pour le plaisir... Et il arriva enfin face au Manoir, apparement il ne s'était pas trop mal orienter. Il pria pour qu'April soit déja dedans, car sinon cela voudrais vu le temps qu'il avait du mettre, qu'elle était surement morte.

Suite ==> Une nouvelle planque ? [ Pv Jameson O'Reilly ]