Une nouvelle planque ? [ Pv Jameson O'Reilly ]

Je me trouvais maintenant devant le manoir que m'avait indiqué James. A ma grande surprise, des hommes armés montait la garde derrière le grillage qui protégait la batisse. Je m'avais imaginée un manoir vide, une des planques de Jameson en quelque sorte. Je descendis du scooter, les hommes qui montaient la garde braquèrent leur semi-automatique sur moi. Je m'identifia rapidement, en prétendant que je voulais les rejoindres. Ils me laissèrent entrer, tout en gardant un oeil sur moi. Ils y avaient, sans aucune exception, que des hommes atteignant pour la plupart la trentaine. Ils me regardaient l'air de dire: "Fait gaffe à toi cette nuit", avec un petit sourire sur le coin de la bouche. J'atteignis enfin la porte d'entrée, protéger par deux hommes pas si différents de leur semblabe.

"Alors comme sa tu veux nous rejoindre, cool sa manque de belle jeune fille dans cette endroit, j'espère que tu remplira ton rôle à merveille..."

Alors lui il manquait pas d'air, il me nommait directement la prostituer de service. J'eu une soudaine envie de lui ouvrir le crâne, mais je me retenue.

"Je suis pas venue pour sa pauvre abrutis! La seule chose que tu aura de moi se sera mon poing dans ta gueule! Bref, je veux juste vous rejoindre, compris cette fois?!"

"Mais c'est qu'elle est sauvage la mignonne, pas la peine de prendre la grosse tête. Je pense pas qu'il y a de véritable problème pour ton admission parmis nous. Jeff, ouvre les portes pour la demoiselle! On va te montrer ta chambre et te faire visiter les lieux. Mais avant, l'autre femme qui est à l'intérieur va te poser quelque question, histoire d'être sur que tu ne soit pas...enfin tu voit, une flic quoi. Aller, rentre"

L'homme avait changer de ton et il m'expliqua un peu prêt tout ce que je devais savoir. Enfin, à peu de chose prêt. J'entra donc cette sorte de forteresse, assez sale et horriblement laide. Le garde ferma la porte derrière moi et un autre m'emmena dans une autre pièce qui devait sans aucun doute être la salle de séjour. Deux détails m'interpela, mais où la femme dont l'homme m'avait parler? Pourquoi plusieurs hommes, armés cela va sans dire, entrèrent dans la pièce. Il était clair que l'accueil était problabement très différent du camps des réfugiés. Ces hommes sont pour la plupart des ex-criminels et ils sont bien loin de se comporter comme des civils ordinaires. Concrètement, je crois que je venais de faire une belle connerie. J'aurais du attendre James dehors, il doit connaitre cette endroit mieux que moi. Moi j'étais la, sans aucune arme en ma possession et avec quatre "soldats" armés jusqu'au dent. Ils étaient prêt à se jeter sur moi. D'ailleurs un s'approcha de moi, son arme en direction de ma figure. Il blablata toute sorte de phrase, je préférais ne pas y prêter y attention. Quand je compris sa véritable raison d'être à mes cotés, je lui cracha à la figure. Celui ci, n'ayant pas apprécier mon geste, me donna un coup de crosse dans le ventre puis dans la figure. Ma respiration fut coupée un moment, j'étais maintenant étalés sur le sol.

"J'en revient pas, un homme aussi costaud que toi...a une force de mauviette. J'ai absolument rien sentie"

Il perdit très vite les pédales, ma réflexion le mit fou de rage. Il me frappa à deux reprise avec ses rangers, dont un coup qui m'atterit en pleine figure. Peut être m'avait il casser le nez, j'en savais trop rien, en tout cas je saignais abondamment. Il s'en fichait si je mourrais ou encore si je tombais dans les pommes. Tout ce qu'il voulait c'était profité de moi, rien d'autre. Je me releva, difficilement, sous le regard surpris de ces grosses brutes. J'étais peut être une femme, mais je n'agissais pourtant pas comme telle. Je m'agrippa au coup de mon assaiyant et posa mes lèvres sur les siennes. Ces quelques secondes furent horrible, mais j'eu le temps de prendre son flingue accrocher à sa ceinture. Malheuresement, il vut le coup venir. Il me remit au sol, d'un coup de poing violent. J'étais littéralement K.O.

"Sa sert rien, je vais te crever, tu bougera moins!"

"Vas y...Essaye toujours si tu...en ais cap..capable..."

Je ne pouvais me laisser faire face à cet énergue humaine. Je le provoquais, bien que je savais qu'il allait sans aucun doute me coller une balle entre les deux yeux. Je voulais lui montrer que je n'étais pas le genre de femme que l'on croisais dans la rue tous les jours, je voulais lui montrer que j'avais ma place parmis eux. Il braqua son arme sur mon corps frêle, la doigt sur la gachette.

Un détonation coupa le bref silence qui avait suivit le dialogue, April avait fermer les yeux et le bruit d'un corps tombant sur le sol se fit entendre. Etonner d'être toujours vivante elle rouvrit ses paupières pour voir au sol le cadavre de l'homme qui l'avait violenté. Au dessus de lui, James le bras tendu armé de son Beretta ne lui adressa pas un regard. Il se tourna vers les autres hommes de la pièce qui n'avais pas bougé et le regardais avec respect.

"Si quelqu'un touche a cette femme, il perd une main ! Si quelqu'un blesse cette femme, il perd la vie ! Me suis-je bien fais comprendre ?
Aller, retourner a vos postes, et faites passez le mots."

Sans un mot les hommes retournèrent a leurs postes les laissant seuls dans la pièce avec le cadavre. James aida April a se relever et lui donna de quoi nettoyer ses blessures, puis il se laissa tomber dans un des fauteuil de la pièce et s'alluma un cigarette. Durant toute la scène il ne l'avait pas regarder une seule fois dans les yeux et semblait très énervé... Cette fois il la fixa.

"Pourquoi tu ne leur as pas dit que tu me connaissait ? Tu crois peut-être que j'aime tué un de mes hommes ? Ce mec était un connard certe, mais si cela avait été mon bras droit ou qui sait mon frêre ? Prends son arme, et la prochaine fois que tu condamne un homme c'est toi qui le tuera de tes mains !"

James sachait pertinement qu'elle venait de manquer de se faire violer, et qu'elle devait être encore sous le choc. Mais il detestait tué un homme qu'il connaissait, qu'il ne destestait pas et qui travaillait pour lui. De plus April avait fais une grosse erreur en ne le nommant pas a l'entrée, et c'était la troisième fois qu'il lui sauvait la vie cette nuit... Il posa son sac et ouvrit un placard, se servant un verre du whisky qu'elle contenait. Puis il la regarda un nouvelle fois, faisant un chose qu'il ne faisait que très rarement dans sa vie...

"Exc... Excuse moi. C'est juste que je deteste faire ca..."

L'histoire se répèta encore une fois. James était venue à mon secours, tuant de sang frois l'homme à deux doigts de me faire mordre la poussière. Apparament, les hommes de cette batisse était pour la plupart sous les ordres de Jameson, il les avertit que si ils me touchaient, ils étaient mort en gros. Les hommes rejoignèrent leur poste. J'étais seule avec mon sauveur qui pour la troisième fois venait de me sauver la vie, et cela en l'espace d'une seule et même nuit. Il ne m'adressa même pas un regard, il m'aida juste à me relevée et me donner de quoi nettoyer mes blessures. James s'assit sur le fauteuil et alluma une cigarette. Il semblait presque hors de lui, je pouvais le comprendre. Il venait de tuer un de ces hommes pour sauver une femme qu'il ne connaissait que depuis quelque heure. Cette fois ci, j'avais bien cru que c'était la fin. James m'adressa enfin la parole, pour me réprimander. Il avait raison, j'aurais du dire que je le connaissais et cette scène dramatique ne serait jamais arriver. Mais je pensais que je pouvais me débrouiller seule, sans l'aide de personne cette fois ci. J'ai eu tord, je le reconnais.
Je pris l'arme à feu de mon assaillant comme me l'ordonna Jameson puis il s'excusa ce qui me surpris. Il n'étais pas vraiment le genre de personne à présenté des escuses mais après avoir tué un de ces hommes, alors que cela aurait put ne pas être nécéssaire si j'avais fait les choses correctement, cela se comprenait. Je me sentais coupable, j'avais suivit sans hésiter mon côté rebelle, un des caractères qui va si mal à une femme. Je ne savais plus quoi dire, j'avais comme un blocage, c'était la première fois que cela m'arrivais.

Venais-je d'agir de ma propre volonté ou était-ce mon corps qui avait fait tout le travail? Car en effet, je venais de me jeter dans les bras de James, le serrant aussi fort que je le pouvais. Je ne savais absolument pas ce qui me prit à ce moment la. Moi enlacer une personne? Mais jamais dans toute ma vie je pouvais penser qu'une telle chose se produise. Après avoir frolée la mort plusieurs fois en l'espace d'une journée, je me laissa enfin aller, peut être que j'exprimais enfin mes sentiments. Je pleurais,comme jamais cela m'étais arrivée auparavent.

" Je suis désolée, escuse moi pour ce qui vient de ce passer... Chaque fois que j'étais en danger, tu étais là pour me sauver. Merci, merci infiniment James"

Je laissa à part mon coté rebelle quelque instant et je redevins ce que j'étais avant. C'est à dire une fille gentil, sympathique, sans histoire, ne cherchant de problème à personne. Je savais pertinament que ce genre de moment ne se reproduirait probablement jamais. Je préférais savourer cette instant aussi lontemps que possible, avant que je redevienne moi même.

" Sera tu toujours là pour moi quand j'aurai besoins de toi? Dit...dit moi que tu m'abandonnera pas"

Mes blessures me faisait atrocement mal, j'étais prête à tombée dans les pommes. Mais avant que cela se produise , je voulais que Jameson réponde à ma question.

La réaction d'Arpil le surpris et il ne sut comment réagir. Son premier réflexe fut de la frapper du revers de la main, il n'était pas du genre a avoir pitié. Le second fut de l'embrasser langoureusement, mais il écarta l'égoisme de cette suggestion, ne souhaitant pas profité de son moment de faiblesse. Finalement, se détendant, il caressa doucement d'une main ses cheveux, et l'autre frottant tendrement l'omoplate de la jeune fille. La serrant fort contre lui il ne se souciait pas de la cigarette qui se consumait doucement sur le parquet de la pièce.
Il se rappella de lui a ses 19 ans, appuyant un flingue chargé contre la tempe de son père... Il n'avait jamais eut d'enfance et il imaginait ce que cette fille avait bien put endurer pour finir dans un squatt. Avait-elle encore des parents, James se doutait que ce n'était pas le genre petite bourge capricieuse qui se donnait un genre. Sinon cela ferait longtemp qu'elle serait morte. Elle avait due vivre des choses terrible qui l'avait rendue forte, mais elle restait une gosse de 19 piges, paumée et survivant dans un carnage d'ordre planètaire.
Loin de se figer dans son machisme et son refoulement habituel des sentiments humains typique, il la comprenait. Il était tous de même content qu'aucun de ses hommes ne soit la pour le voir.
Et lorsqu'elle lui demanda si il serait toujours présent pour elle, il ne se posa pas les question habituelles. Il pouvait bien risquer de regretter ce qu'il allait dire, bien qu'il le pensait. Mais plus il comprenait la jeune fille et se sentait proche d'elle, plus il se moquait du destin. Il avait passé un an en taule, cela l'avait changé. Il ne désirait plus vivre uniquement pour lui, car lorsque l'on se retrouvais seul, on le payait cher. Il voulait vivre pour une cause, quel qu'elle soit, si cela devait être cette fille... Il prendrait sur lui. Si il devait se rendre compte qu'il faisait une erreur, il prendrait aussi sur lui et en tirerait une lecon.
Abrégeant le court irrégulier de ses pensées il se pencha vers elle, la prenait par les épaules pour redresser légèrement sa tête il la regarda dans les yeux. Oubliant la beauté charnelle d'April, a l'instant, il parla a l'âme de la jeune femme.

"La petite fille ou la caid en herbe, je serait là a chaques instants pour elles. Tu peux compter sur moi April..."

Sur ce, il lui baisa tendrement le front, et, remarquant ses paupières fermées, se leva lentement pour lui laisser la place de dormir seule sur le canapé. Il fit deux pas et vacilla, la fatigue le prenait lui aussi, l'adréline retombée, il se sentait faible maintenant... Attrapant le fauteuil le plus proche il s'encormit a l'instant même ou il tomba dessus. Ses hommes n'oserait surement plus entré dans la pièce avant le lendemain, ils se réveilleront donc d'eux mêmes...

J'avais enfin la réponse que j'attendais. Je pouvais donc me reposer, sereinement. Jameson n'avais pas un coeur de pierre, comme certain de ces hommes pouvaient le pensés, ou comme moi je l'avais pensée la première que je l'avais croisée. C'étais comme si que nous avions révélés lors de cette scène, une autre facette de notre personnalité. En tout cas, pour moi c'étais le cas. Je pensais que je n'exprimais jamais aucun sentiment, que j'allais toujours à l'encontre de la société dans laquelle nous vivons, que je controlais parfaitement ma vie. Pourtant j'avais la forte impression que je n'avais pas controler mes faits et gestes ainsi que ma pensée cette nuit la. Peu importe, j'étais différente quand j'avais cette homme à mes cotés, et cela devait être pareil pour lui, c'était maintenant une certitude. Ce fut là ma dernière pensée, avant que le someille m'emporte.
Encore ce rêve, celui où j'assistais en direct au massacre de ma mère et de ma soeur. Je savais que j'étais en train de rêver, mais impossible pour moi de me réveiller. Je finis par me réveiller, en sueur, heureuse d'être enfin revenue à moi. Jameson dormait encore, sur un des fauteuils, il avait apparament le sommeille lourd contrairement à moi. Je resta assise un moment, me rapellant avec le plus de précision possible la scène d'hier. Je souris, bien que cela n'était pas vraiment voulue. A l'extérieur, les hommes s'activaient. Je sortis de la pièce et je me diriga vers l'extérieur. D'après ce que les soldats disaient, il y avait un petit troupeau de zombie qui attaquaient la forteresse, rien de bien méchant. Impossible pour moi de me rendormir, je commença donc une petite visite des lieux, bien que j'en avais guère envie mais c'étais la seule chose à faire à une heure pareille. Les hommes que je croisaient ne me regardaient même pas, certain essayait même de m'éviter. Apparament, ils avaient apprit pour leur petit camarade, il ne voulait pas que cela se se reproduise sur eux.

Le matin arriva à une vitesse fulgurante, j'eu le temps de prendre une douche et de changer mes vêtements, entièrement tacher de sang, et de m'équiper. Je retourna dans la pièce où dormait Jamesons, ces hommes enlevaient le corps de leur collègue. Je m'assis à ces cotés quelque instant avant que celui ci décide enfin d'ouvrir ces paupières, ont avaient passer une dure et étrange journée mais comme même.

"Alors enfin réveiller? Vous les hommes, tous les mêmes, des vrais feignants! J'ai du visiter cette endroit au moin trois fois avant que tu décide à te réveiller, aller grouille toi ! On a pas mal de chose à faire!"

Je sortis une cigarette de ma poche, qui provenait du paquet que je lui avais volée il y a de cela quelque heure, et je commença à la fumée. Je lui en tendis une, tout en ne cessant de le regarder.

" On ma demander de te transmette le rapport, j'ai pas très envie de te le dire mais bon. Apparament on a été attaquer cette nuit, un petit groupe, tu dormais tellement que ta rien entendu. L'ensemble des corps ont été retirés de la route... et euh...nan oublie sa"

Je n'avais toujours pas parler de ce qui c'était passer hier, en fait je savais pas vraiment quoi dire et je préférais que cela en reste ainsi.

(Ta vraiment le courage d'écrire à un heure pareille^^)

Il était avec April en dehors de ce bordel qu'on appellait Montréal, ils buvaient un verre, dans une ville comme les autres, puis des flics entraient dans le bar et l'arrettait, il se retrouvait en taule loin d'April et le pire dans son rêve... C'est qu'il regrettait Montréal...
Il ouvrit un paupière et la première chose qu'il vit fut April, pas si mal comme réveil, elle le réprimanda brévement avant d'enchainer sur les nouvelles. Il accepta sa cigarette avec plaisir puis se rendit dans un salle de bain attenante au Salon/Salle de repos en lachant un remarque a April.

"Laisse moi me débarbouiller, et dans 5 minutes c'est moi qui vait te briefer."

Il se toilletta et changea de vétement rapidement avant de revenir dans le salon ou April l'attendait, puis il se rassit sur le fauteuil et commenca a lui expliquer la situation.

"Bienvenue dans le manoir Kaufman, il appartient au parrain de la mafia du même nom et a ses sbires. Depuis la contamination lui, sa femme et ses deux grandes figures de proues sont introuvables. On suppose qu'ils ont quittés la ville car ce n'est pas le genre a mourir facilement. Avant d'aller en prison je bossais pour l'un des plus influents membres de la mafia, le plus puissant après Kaufman en fait, mais Kaufman ma vendu aux flics car il n'aimait pas mes méthodes et ne supportait pas qu'un irlandais grimpe aussi vite les échelons.
Mon patron n'a pas aimé ca mais il ne pouvait pas s'opposer au parrain, car il ne m'avait pas tué. Bref tous cela pour dire qu'en attendant qu'un des membres éminents de la mafia donne un signe de vie, c'est moi le chef. Les hommes du Manoir me respectait et même si il ne le discute pas n'on pas aimé la facon de faire de Kaufman. Certain d'eux hesitait encore a m'obéir mais après l'épisode d'hier soir je crois que les avis sont bouclés..."

La facon d'ont il avait parlé d'hier soir et son regard montra a April qu'il n'avait rien oublié mais qu'ils n'avaient pas besoin d'en reparler. Ce qui avait été dis avait été dis. Et si la vérité et la compréhension s'en dégageait, ils n'avaient donc plus rien a en dire. Lui tendant la main il l'invita a le suivre.

"Je vais te faire visiter ce Manoir. Il est énorme et il n'est pas rare que les hommes s'y perdent. On est environ une vingtaine ici, mais il y a largement la place de nous logé. Si tu as des questions je t'écoute."

Tout en parlant il l'emmenait et lui faisait visité de nombreuses pièces.

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